28 avril 2011
Vivre
J’ai frôlé le sommeil il m’a glacé de peur, Mais ici tout est vain. Quand le jour se rhabille Je regarde fuser, dans un âtre qui brille Vos flammèches de joie et ma froide stupeur. J’ai supplié la mort comme on offre une fleur, Délicatement las du bonheur...